Le cœur du mandat de la Section de l’exploitation sexuelle est de protéger les victimes et les personnes vulnérables. Une partie importante des efforts déployés par les membres de cette équipe est consacrée à lutter contre les proxénètes et les cyberprédateurs.
Dans leurs enquêtes et interventions policières, les membres de la Section de l’exploitation sexuelle collaborent aussi régulièrement avec d’autres unités spécialisées du SPVM, comme celles des crimes technologiques, des agressions sexuelles, des enquêtes générales ou encore de la gendarmerie.
La Section de l’exploitation sexuelle est composée de deux modules, soit celui de l’Exploitation sexuelle des enfants sur internet et celui de l’Exploitation sexuelle - proxénétisme.
ESEI
La mission du module de l’Exploitation sexuelle des enfants sur Internet (ESEI) est de protéger les enfants, en enquêtant les crimes reliés à la pornographie juvénile, au leurre informatique et à la distribution non consensuelle d’images intimes entre personnes mineures. L’ESEI s’attaque principalement aux prédateurs sexuels qui opèrent via les différentes plateformes numériques.
ES-PROX
Le module de l’Exploitation sexuelle - proxénétisme (ES-Prox) met l’accent sur la prévention auprès des victimes d’exploitation sexuelle et auprès des personnes à risque. Des efforts sont également déployés dans la répression envers les exploiteurs. Le programme Les Survivantes, qui est devenu un modèle à suivre, offre du soutien et de l’accompagnement aux victimes. Les membres de l’ES-Prox collaborent d’ailleurs étroitement avec plusieurs partenaires communautaires et institutionnels afin de mener à bien la mission de cette équipe.
Mandat
Parmi les événements ayant un lien avec l’exploitation sexuelle, on retrouve le proxénétisme, la traite de personne, la pornographie juvénile, le leurre informatique et l’échange d’images intimes entre mineurs.
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